jeudi 25 septembre 2008

Une grande avancée dans l’étude phylogénétique des crustacés

onsieur Népomucène Nicéphore Le Furtif, professeur émérite à l’Université des Sciences de l’Ame de Montmorillon, a publié ce jour une très importante communication à l’Académie des Sciences Infuses de Poitiers, dont nous reproduisons ci-dessous le passage le plus significatif.

« Au sein des Arthropodes, les crustacés forment un groupe problématique. Selon les études , il apparaît comme étant monophylétique, groupe frère des hexapodes (Tuberville, J.M., et al. 1991 ; Boore , J.L., et al, 1995 idem 1998) ou paraphylétique , avec les hexapodes groupe frère de certains taxons de crustacés (notamment les branchiopodes)
Le comportement des sous groupes Chicagoensis en milieu de capitaux flottants reste un sujet d’étude non encore exploré. »

Il n’échappera à personne que cette analyse lumineuse représente un pas de géant dans la compréhension analytique systémiquement structurale de la phylogénèse des Arthropodes, par la dimension vertigineusement fondatrice de sa réflexion épistémologique, qui prend toute sa valeur dans l’inspiration métaphysicoculinaire qui sous-tend cette pensée novatrice jusque dans la clarté limpide de sa formulation.

A propos du sous-groupe Chicagoensis, essayons de résumer les événements récents survenus chez les crustacés marins.
Il semble que certaines populations de Cancer financiarius (crabe financier) vivant ordinairement dans d’abondantes liquidités soient actuellement en péril après la dégradation de leur biotope provoqué par la surmortalité soudaine du plancton Subprima credita (subsp americana).

Précisément, les crustacés du sous-groupe Chicagoensis, particulièrement Friedmannia destructoria, n’y seraient pas étrangers, par leur action de sape continue sur les fondements sociaux des populations pélagiques, qui ne profite qu’à l’espèce de poisson Caballerus industrius (chevalier d’industrie), qui prospère en eaux troubles, souvent nommé Copinus sarkozii dans les eaux françaises (sous-espèces bouygus, arnaultis, dassaultus, lagarderum, etc.).

2 commentaires:

Etienne Celmar a dit…

Un seul mot :

Wouaff!

Anonyme a dit…

Pour la partie financière du Nobel...Tout en petites coupures usagées siou plait

D.A.F.