Lorsque je vivais là bas, un matin, mon voisin est venu nous interdire de sortir. Une heure avant, il avait couper par mégarde un buisson de sumac, à proximité, et avait été "contaminé" sur les bras et les mains.
Ses mains commençaient à se couvrir de cloques minuscules et il semblait souffrir le martyre.
Le risque de contamination aérienne est très faible mais le contact direct à la plante ou à quoi que ce soit qui l'aurait touché est quasi systématique.
Ça n'a même rien à voir, par la durée, par le niveau de douleur et par les risques parfois encourus, sans parler de la sensibilisation allergique.
Heureusement, là où le sumac est fort présent, les gens y sont accoutumés et précautionneux, pour des touristes ou des transitaires comme je le fus, c'est tout autre chose, mais j'ai eu la chance d'y être confronté et donc de m'en méfier en redoublant d'attention...
J'ai vu hier que ce sumac photographié dimanche 23 a maintenant perdu la moitié de ses feuilles sous les effets du vent et de la pluie. Le temps, dans tous les sens du mot, a toujours raison de ces beautés éphémères.
12 commentaires:
Numéro 3 mis en fond d'écran. Moi qui suis incapable de réussir une photo, même avec un jetable. Chapeau, bibi, panama et consort.
Jeanne
Les couleurs sont vraiment belles :-)
Bises, Laure
http://ptitesphotosdelolo.blogspot.fr/
Merci Jeanne.
Merci Laure; votre blog est intéressant et je vais l'explorer !
Y aurait-il une quelconque analogie avec le sumac vénéneux qu'on trouve à foison aux USA et dont j'ai eu l'occasion de voir les effets ?
Rien que d'y penser ça me gratte... Brrrrr !!!
Vite une, deux, trois douches !
Ce sont des espèces voisines. Le sumac vénéneux est-il aussi irritant qu'on le dit ? Aurais-tu des expériences personnelles ?!
Fontaine des couleurs ... (Up)
Lorsque je vivais là bas, un matin, mon voisin est venu nous interdire de sortir. Une heure avant, il avait couper par mégarde un buisson de sumac, à proximité, et avait été "contaminé" sur les bras et les mains.
Ses mains commençaient à se couvrir de cloques minuscules et il semblait souffrir le martyre.
Le risque de contamination aérienne est très faible mais le contact direct à la plante ou à quoi que ce soit qui l'aurait touché est quasi systématique.
Charmant. Nos braves orties ne font pas le poids...
Ça n'a même rien à voir, par la durée, par le niveau de douleur et par les risques parfois encourus, sans parler de la sensibilisation allergique.
Heureusement, là où le sumac est fort présent, les gens y sont accoutumés et précautionneux, pour des touristes ou des transitaires comme je le fus, c'est tout autre chose, mais j'ai eu la chance d'y être confronté et donc de m'en méfier en redoublant d'attention...
Un homme averti du sumac en vaut deux !
J'ai vu hier que ce sumac photographié dimanche 23 a maintenant perdu la moitié de ses feuilles sous les effets du vent et de la pluie.
Le temps, dans tous les sens du mot, a toujours raison de ces beautés éphémères.
Si le verbe "cycler" existait, on pourrait affirmer quand l'automne arrive en septembre que les maux, tôt, cyclent...
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