samedi 22 janvier 2011

La gauche que nous voulons (paru dans Marianne du 22 janvier 2011)



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12 commentaires:

ardèche a dit…

A force de chercher je vous retrouve. Très bon article. Je suis et reste de gauche mais très désapointée comme beaucoup. Aurons-nous tous le courage d'exprimer notre désolation devant la situation actuelle de ce parti ? Inféodé au pouvoir, l'argent, les honneurs. Tout doit être changé et vite. A l'heure actuelle, les urnes ne reflètent plus que la peur du changement. Au moment opportun, il faudra choisir.

Philippe Renève a dit…

Je crois reconnaître une Ardéchoise à temps partiel, non ? !
Bienvenue et merci de votre commentaire. En effet, le choix politique est si réduit actuellement que les choix sont difficiles entre radis roses et roses radis...

ardèche a dit…

Exact.

ardèche a dit…

Comme vous le savez, je ne suis pas forte en informatique. Je bataille depuis plus d'une heure pour vous répondre. Où est-il le temps des pneumatiques ? Docteur Watson, ne soyez pas rétrograde!

Philippe Renève a dit…

Vous bataillâtes, mais vous vainquîtes !

ardèche a dit…

Mr Reneve, je sais que celà vous énerve! Peux-t-on vous souhaiter beaucoup de visites sur vos blogs? Comptez sur la mienne. Je fus ravie de vous connaître.

Philippe Renève a dit…

Mais non, pas du tout, Monique, je m'amusais avec les passés simples (qu'ils le restent !).
Je compte bien sur vos visites; j'ai été exclu de Disons comme un chien galeux, mais mon très modeste blog est à votre disposition !

ardèche a dit…

Je sais et c'est pourquoi je n'en parlais pas.Je n'ai plus commenté et n'ai pas l'intention de m'y remettre. La nature humaine est ainsi faite qu'elle reproduit toujours ce qu'elle a subi. Cherchez l'erreur.

emile red a dit…

Bonjour Philippe,

Heureux de te revoir enfin libre et de pouvoir te relire !

Je suis foncièrement d'accord avec ton article, la multitude de gens de gauche aux sensibilités diverses que je côtoie se retrouvent dans tes positions.

Ils ont de plus en plus l'impression de se sentir orphelins dans les isoloirs de second tour devant le non-choix qui leur est offert entre un ultra libéralisme débridé de droite et un socio-libéralisme déconnecté du social et âpre aux jeux d'argent à l'écoute du CAC ou du MEDEF et sourd aux revendications de leur électorat.

Entre la ligne de la tromperie façon Vals et l'inféodation au FMI/dollar, ils ressentent profondément cet abandon de la justice et la marginalisation du social par ces élites qu'ils finissent par tous mettre dans le même sac, ce qui, à mon sens, expliquerait grandement la déshérence des isoloirs aux seconds tours capitaux.

Philippe Renève a dit…

Bonjour Emile

Heureux d'avoir à nouveau l'occasion de te parler.

Hélas en effet, on voit trop que la pensée unique, voix de l'ultralibéralisme, a rallié à son drapeau souillé la majorité honteuse de la classe politique.

Il faut tenter de combattre ce qui paraît si naturel dans son discours, pour montrer aux citoyens comment on les trompe de toutes parts et afin qu'ils n'acceptent plus cette situation, d'abord par leur vote.

ardèche a dit…

Bonjour, bonjour

Le vote ... et si ce fameux "marronnier" de vote électronique refaisait surface et était adopté? Que deviendraient nos choix ? Manipulés comme le reste. Y a des techniques modernes qui me font peur !

ardèche a dit…

J'ai bien reçu le message. Ce que je disais, je ne souhaitais pas que celà paraisse sur votre blog. C'était entre nous. Je suis au fait du déroulement de l'affaire et j'ai aussi été prise à partie pour mon fameux "indispensable" et traitée de malveillante. Passons à autre chose. Bonne soirée.