lundi 4 août 2008

Une polonaise humidifiée

La polonaise avait abusé non de Chopin, mais de la chopine [1] :

"Pour mes 50 ans, j'essaierai 4 g"

[1] chopine n. f. Impromptu faussement attribué à Chopin. « Mes mains tremblent sur le clavier: il faut que j'arrête les chopines » (Ravel)

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Sto lat ! Sto lat ! Niech żyje, żyje nam !

Sto lat ! Sto lat ! Niech żyje, żyje nam !

Jeszcze raz, jeszcze raz ! Niech żyje, żyje nam !

Niech żyje nam !

D.A.F.

Philippe Renève a dit…

Oui.
C'est une réaction intéressante, à laquelle il fallait s'attendre: à côté de ses aspects cocasses, le sujet est sans nul doute un peu délicat, et prête plus à polémique qu'à un mauvais payeur.
Cela étant, je constate que mon polonais a un peu vieilli: je crains de ne pas saisir dans le détail toute la subtilité de ces tournures sans doute modernes. Auriez-vous l'amabilité de me les traduire, en tupi-guarani littéraire par exemple.
Ou en français, aussi.

Anonyme a dit…

http://fr.wikipedia.org/wiki/Sto_Lat

Cent ans ! Cent ans ! Qu'il vive, vive (parmi) nous !

Cent ans ! Cent ans ! Qu'il vive, vive (parmi) nous !

Encore une fois, encore une fois ! Qu'il vive, vive (parmi) nous !

Qu'il vive (parmi) nous !




Que pour lui l'étoile de la félicité jamais ne s'éteigne, jamais ne s'éteigne !

Et celui d'entre nous qui ne boit pas, que la foudre le frappe !

Et celui d'entre nous qui ne boit pas, que la foudre le frappe !


Cent ans, cent ans, cent ans, cent ans qu'il vive (parmi) nous !

Cent ans, cent ans, cent ans, cent ans qu'il vive (parmi) nous !

Qu'il vive (parmi) nous ! Qu'il vive (parmi) nous !

Que dans la santé, le bonheur, et la félicité il vive (parmi) nous.

En des temps anciens et regrettables je donnais dans la Polonaise bien plus énergiquement que votre Monsieur Ravel
D.A.F.

Philippe Renève a dit…

Hem. Doctus cum libro copiatocollatoque.
Mais je ne doute pas que dans tes gammes francopolonaises tu ne déployasses doigté adroit et délicat toucher.